jeudi 20 novembre 2025

Pauline Delpech, Franck Thilliez, Bernard Pivot , côte à côte dans la boite à lire....

 Comment savoir ce que pense les auteurs, Franck Thilliez par exemple ? Lire ses récits sans passer à la caisse, sans faire la queue aux salons des livres. Il y en avait 4 dans la boite à lire... 
Et, ironie, L’amitié de Bernard Pivot, ironie parce que "Apostrophe et Bernard Pivot" malmenés dans le 1991 Thilliez, pas beaucoup, une simple ligne qui n'avait rien à faire dans l'histoire...  
Une fois lus, je reposerais les Franck Thilliez, mais, je garderais l’amitié de Bernard Pivot et celle de Pauline Delpech.
 
 

jeudi 6 novembre 2025

Empty chat Toulousain... débriefing

 

Lundi : Empty a une attitude bizarre, il tourne dans l'appartement et se réfugie sous l’évier la tête contre le mur. 

Craignant un AVC mon fils (qui vit vers le parc de la Maourine) appel son vétérinaire à la Barrière de Paris qui n'a pas de place, paniqué il contacte les Urgences vétérinaires clinique de Purpan qui n'a pas de place non plus, ils rappelleront si il y a un désistement. 

En larme mon fils contacte une autre clinique vétérinaire près de chez moi "Borderouge" qui lui donne un rendez vous pour le lendemain en fin d’après midi. Je prends la voiture en disant :  - vient on y va il est déjà 15 h. Le chat est tout mou. 

   Une fois sur place la clinique ne peut pas prendre le chat, ils sont débordés mais contacte la clinique de L'Union. L'Union est OK pour 16h30 le lendemain....  Je raccompagne mon fils chez lui avec le chat qui une fois chez lui se réfugie sous l’évier, de nouveau en larmes, mon fils l'entoure dans un plaid vert kaki.

Mardi : J'accompagne mon fils à l'Union. Le chat toujours tout mou dans sa boite de transport ne miaule plus, puis, à l’heure dite il subit des tests avec la main et une analyse sanguine, le vétérinaire ne trouvant rien nous renvoie chez nous, après lui avoir administré une piqûre pour des probables parasites intestinaux. 

Mercredi :  Le chat toujours mou tourne en rond, mon fils prend un véhicule Uber et file chez le vétérinaire de Borderouge qui contacte la clinique de st Orens pour faire un scanner. Rendez vous pris pour le lendemain 14h30, Je vais chercher mon fils à Borderouge.

 Jeudi : Il pleut des cordes et je ne vois pas à deux mètres (j'ai un début de cataracte) une de ses amies  l'accompagne à st Orens. Le scanner révèle une probable tumeur mais, nécessite une seconde lecture qui sera faite au maximum dans quatre jours. Un vétérinaire injecte un produit pour réduire la pression crânienne et donne des médocs qui devraient fonctionner en attendant l'intervention. L'amie sympa fait l'aller et retour st Orens Toulouse et dépose le maître et son chat chez lui.    

Le chat est moins mou et ne tourne plus en rond. 

Vendredi : On attend la date de l'intervention qui sera effectué à la clinique de Borderouge à coté de chez moi. On ne parlera pas du coût des interventions ce serait (pour l'instant) de mauvais goût.

 

  

samedi 1 novembre 2025

Cherche Maison éditions (à compte d'éditeurs) Synopsis Tom et Louise et les Hurlants de la rue Edmond Rostand

 



Synopsis Tom et Louise et les Hurlants de la rue Edmond Rostand

Les habitants d’une paisible résidence toulousaine, voient leur quiétude bousculée par la venue d’une étrange famille composée de cinq personnes, une famille violente, brutale avec leurs enfants, leur chien et tous les résidents qui osent leur tenir tête.

Sous les menaces, les habitants les plus fortunés quitteront les lieux et vendront leurs biens.

Durant trois années, Tom et Louise résistent aux injures, aux coups, aux menaces de mort, aux projectiles, qui vont de la patate aux boules de pétanques, lancés sur leur terrasse.

À la première plainte déposée par Tom et Louise auprès de l’hôtel de police de Toulouse, le flic les met en garde en disant « Vous ne pouviez pas tomber sur pires voisins !».


Louise, se battra jusqu’au bout pour que son fils, atteint d’une maladie rare, retrouve sa joie de vivre, malgré les coups de barres de fer, le bris de ses lunettes et les injures homophobes reçus, elle déposera sept plaintes contre cette famille et contactera toutes les personnes susceptibles de lui venir en aide : police municipale, police nationale, l’Unité Médico-judiciaire, le maire de son quartier, le maire de Toulouse Métropole, le préfet, le procureur de la République, le bailleur et le syndic de l’immeuble, une avocate, l’assurance juridique et même, la députée de quartier de l’Assemblée Nationale.

Renversant les rôles, se disant persécutée, la famille soutenue par des associations, finit par être relogée.

Tom et Louise ainsi que tous les résidents restants retrouvent calme et tranquillité ce qui sera de courte durée, la famille n’ayant pas fait d’état des lieux de sortie, n’ayant pas rendu les clés, sous-loue l’appartement à des sauvageons qui, n’ayant pas tous les pass pour circuler, cassent et détruisent portes d’entrées, portail de parking et ascenseur.

Des cafards grouillent dans les couloirs, les portes claquent, les nouveaux occupants hurlent nuits et jours sur leur balcon.

Coup de chance, Tom trouve un nouvel appartement à louer, dans le même arrondissement, le sachant tranquille, Louise ne lâche pas l’affaire, elle veut que cette famille soit punie.

Ne sachant plus à quel saint se vouer, Louise poste la vidéo d’un homme qui, d’un coup de pied, brise la vitre de la porte d’entrée, elle la pose sur sa page X (Twitter). Un journaliste du journal « La Dépêche du Midi » se déplace pour faire un petit reportage. Louise est en première page, avec la légende « Louise vit l’enfer dans son immeuble rue Edmond Rostand ».

L’expulsion a lieu trois mois après la parution de l’article et il aura fallu quatre ans et trois mois de batailles pour que Tom et Louise retrouvent la paix.