Elle peut pas tomber, y a rien qui la protège
C'est juste une collectionneuse de sortilèges
A minuit quand tous ses bracelets sonnent
Elle est comme personne
Quand le soleil qui plonge à la fin du jour s'élance
En reflets chiffonnés noués sur ma vitre,
La buée de sa bouche enfièvrée m'évite
Même le silence me crie "Abandonne !"
Elle est comme personne
Ecoute un peu mes mots
T'en vas pas, petite,
Toutes mes forces me quittent
J'ai jamais voulu te voler
Ni t'arracher
Les haillons, les larmes et les chaînes
De tout ce que t'app'lais
Ta liberté
J'ose pas me regarder dans l'eau que ses mains retiennent
Elle dit "De quoi t'as peur ?" et mon orgueil explose
Les portiers de ma raison se sauvent
Le jeu de ses doigts m'emprisonne
Elle est comme personne
Quand tout l'monde est courbé sous le vent des fausses nouvelles,
Quand les écrans des théoriciens malades
Vomissent leurs mots venin, elle s'évade
Quand le vent muet tourbillonne
Elle est comme personne
Moi j'avais seulement connu deux ou trois nuits clandestines
Et soudain mes passions soldées carillonnent
Ma cour est vide et mon escalier résonne
Elle reprend jamais les pleurs qu'elle me donne
Elle est comme personne
Elle a jamais d'mandé l'brouillard de mes serments vides
Et quand j'ai mal j'me plains pas d'la brûlure
J'suis venu seul à g'noux devant sa serrure
Quand mes derniers espoirs plafonnent
Elle est comme personne.
Elle est comme personne
Quand le soleil qui plonge à la fin du jour s'élance
En reflets chiffonnés noués sur ma vitre,
La buée de sa bouche enfièvrée m'évite
Même le silence me crie "Abandonne !"
Elle est comme personne
Ecoute un peu mes mots
T'en vas pas, petite,
Toutes mes forces me quittent
J'ai jamais voulu te voler
Ni t'arracher
Les haillons, les larmes et les chaînes
De tout ce que t'app'lais
Ta liberté
J'ose pas me regarder dans l'eau que ses mains retiennent
Elle dit "De quoi t'as peur ?" et mon orgueil explose
Les portiers de ma raison se sauvent
Le jeu de ses doigts m'emprisonne
Elle est comme personne
Quand tout l'monde est courbé sous le vent des fausses nouvelles,
Quand les écrans des théoriciens malades
Vomissent leurs mots venin, elle s'évade
Quand le vent muet tourbillonne
Elle est comme personne
Moi j'avais seulement connu deux ou trois nuits clandestines
Et soudain mes passions soldées carillonnent
Ma cour est vide et mon escalier résonne
Elle reprend jamais les pleurs qu'elle me donne
Elle est comme personne
Elle a jamais d'mandé l'brouillard de mes serments vides
Et quand j'ai mal j'me plains pas d'la brûlure
J'suis venu seul à g'noux devant sa serrure
Quand mes derniers espoirs plafonnent
Elle est comme personne.
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